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Manque de tonus capillaire à l’origine d’une perte d’éclat, d’une déshydratation et de pointes abimées, démangeaisons ou irritations générant des pellicules sont autant de désagréments capillaires qui peuvent désespérer celles et ceux qui les vivent au quotidien. C’est encore plus le cas pour les chutes de cheveux (effluvium télogène, alopécie androgénique ou encore calvitie…), dont la rapidité et l’intensité peut parfois surprendre. Mais pas question de se laisser abattre ! En reprenant vos cheveux en main à l’aide de bons réflexes, de soins adaptés et des bons nutriments, vous aiderez votre cuir chevelu à retrouver la sérénité qui lui manque.

Ces causes qui peuvent générer une chute de cheveux rapide
Un cheveu sain suit un cycle de vie constitué de trois phases : anagène (la croissance), catagène (le repos) et enfin, télogène (la fin de vie). Ce cycle se répète à l’infini, tout au long de l’existence. Mais parfois, certains bâtons peuvent se mettre dans les rouages d’un système bien huilé, et perturber son fonctionnement, au point de le ralentir ou le stopper complètement. Résultat, l’aspect des cheveux présents en pâtit, car ils sont plus exposés aux agressions et donc au final, à la chute. Mais il est aussi possible que la pousse soit freinée et ne parvienne pas à compenser la chute accrue. C’est à ce moment-là que la chevelure perd en volume globale et affiche des zones clairsemées.
Ce phénomène peut être généré par des carences nutritionnelles, un changement de saison, un état de stress violent et durable, ou tout simplement par certaines périodes de notre vie (post-accouchement, ménopause). Certaines pathologies, comme l’homocystinurie ou les affections hépatiques peuvent aussi perturber le cycle pilaire car elles mettent à mal la synthèse naturelle d’acides aminés comme la cystine.

Chute de cheveux : les nutriments à privilégier pour la contrer
Quand la chute se révèle sévère (plus de 100 cheveux/jours), il est conseillé de consulter rapidement un spécialiste, qui pourra procéder à des examens cliniques et sanguins, afin de tenter de trouver une explication à ce phénomène indésiré. Si la chute reste modérée ou que vous en connaissez la cause (une phase de stress accrue quelques mois auparavant par exemple), vous pouvez booster votre consommation de nutriments essentiels pour retrouver des cheveux de bonne qualité et en bonne santé.
Cela passe par une alimentation variée et équilibrée, mais aussi par une supplémentation. Car quand les besoins sont grands, l’alimentation seule suffit rarement. On peut penser par exemple au marc de raisin, mais aussi aux céramides, essentielles pour assurer la cohésion des écailles du cheveu. Les vitamines B6 et B8 fortifient le cheveu ; les B2, B3 et B5, ainsi que certains oligo-éléments (zinc), favorisent le renouvellement cellulaire.
Outre ces ingrédients aux pouvoirs reconnus sur la pousse des cheveux et la prévention de leur chute, il y en a un dont l’action se distingue des autres : la cystine, l’un des 20 acides aminés naturellement synthétisés par l’organisme ou apportés par l’alimentation. Ses propriétés uniques font de lui un ingrédient de prédilection pour prendre soin de la chevelure.

La cystine, l’actif de référence pour des cheveux plus forts
Ce qui distingue la cystine des autres acides aminés, c’est sa teneur en soufre, qui la rend capable de former des ponts disulfures qui permettront la stabilité de votre fibre capillaire ainsi que sa solidité.
La cystine est présente partout dans le corps sous sa forme réduite : la cystéine. Associée aux peptides et protéines, elle est véhiculée par des systèmes de transport spécifiques jusqu’aux cellules. Elle y joue un rôle primordial dans le processus d’antioxydation endogène du glutathion (GSH) et est également l’élément précurseur de la taurine. Enfin, ses ponts disulfures décomposent les protéines comme la kératine en petits morceaux assimilables par l’intestin. Or, plus ils sont concentrés en kératine, plus les phanères (ongles, cheveux) sont solides. Dans le cas des fibres capillaires, elles sont bien accrochées à leur bulbe, limitant alors le phénomène de chute.
Il est possible de tirer profit du pouvoir de la cystine à l’aide de produits d’hygiène capillaire, mais aussi de soins topiques et enfin de compléments alimentaires. Après avoir testé et prouvé leur efficacité dans la prévention de la chute capillaire, les Laboratoires Bailleul ont exploité cet actif surpuissant dans l’une de ses gammes phares nommée Cystiphane. Elle se compose de plusieurs produits, à utiliser seuls ou combinés pour optimiser les résultats. On y trouve un shampooing anti-chute, à compléter avec la lotion anti-chute, qui s’applique au quotidien, sur le cuir chevelu sec ou humide. Enfin, des compléments alimentaires hautement dosés (2000 mg par prise quotidienne) complètent la gamme. Il est conseillé de les prendre pendant 3 mois minimum pour constater des résultats satisfaisants. Bonus, ces compléments sont également très efficaces pour renforcer les ongles des mains et des pieds qui, comme les cheveux, sont des phanères, dont les besoins nutritionnels sont les mêmes.

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