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Souffrant de vomissements et de nausées, le 8 mars dernier, l’adolescent est emmené par sa mère chez le médecin. Après un examen clinique, ce dernier rédige une lettre et lui demande d’emmener son fils aux urgences. Mais la mère n’a pas de voiture. Elle appelle donc le 15 pour qu’ils viennent chercher son fils. Mais les urgences ne sont pas venues.

Un état qui se dégrade

Dès le lendemain, L’état de l’adolescent de 17 ans se dégrade. La mère appelle de nouveau les urgences qui répondent : « Madame ce n’est pas la peine de se déplacer, c’est une simple grippe », explique Brice Zanin, l’avocat de la famille interviewé par France 3.

Deux jours plus tard, le 10 mars, l’état de santé du jeune homme se dégrade encore. Sa mère l’emmène à la pharmacie. Le pharmacien, lui, réagit immédiatement et appelle les pompiers. Mais ces derniers n’ont pas le temps d’arriver, le jeune homme fait un arrêt cardiaque sur le trottoir et décède.

L’autopsie révèle une pneumopathie

L’avocat de la famille explique qu’après la réalisation d’une autopsie demandée par le parquet de Saint-Gaudens, « il s’avère que le jeune homme avait une pneumopathie. Elle aurait pu être soignée. » Cependant, le procureur Christophe Amunzateguy a précisé à nos confrères de France Live : « L’autopsie doit encore être affinée, notamment à propos de l’état de santé du jeune homme au moment du décès. »

Une plainte contre X

De leur côté les parents ont décidé de porter plainte contre X. La maman de l’ado décédé a expliqué à France Live : « J’ai énormément de colère envers le service des urgences, qui ne sont même pas déplacées […]. Je veux avoir des réponses […]. Je veux venger mon enfant et je veux qu’ils paient. Cela ne peut pas rester impuni. »

Effectivement, comment peut-on, en 2023, dans un pays occidental, décéder à 17 ans d’une pneumopathie alors que cette pathologie se soigne avec des antibiotiques…

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nl astro

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