CHER DEIDRE : SI je ne donne pas d’argent à toutes les œuvres caritatives qui en ont besoin, je me sens très mal.
La pression de faire le bien me rend si anxieux que je ne peux pas fonctionner.
Je suis directeur des installations, 38 ans, avec un salaire moyen. Je donne déjà trop à des œuvres caritatives et j’ai du mal à gérer financièrement.
Mais chaque fois que je vois des images de personnes affamées dans des zones de guerre ou d’enfants nécessitant une intervention chirurgicale pour une fente palatine, ou que j’entends parler de catastrophes, je sens que je dois aider.
Les Chuggers m’aiment parce que je ne les ignore jamais. J’ai mis en place un prélèvement automatique car je ne peux pas dire non.
Si je ne le fais pas, j’ai l’impression d’échouer personnellement.
Je sais que ce n’est pas un comportement normal, mais je ne sais pas comment m’en empêcher.
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DEIDRE DIT : Votre générosité et votre désir d’aider sont admirables. Mais c’est devenu une compulsion – une sorte de TOC – et ce n’est pas sain.
Personne ne peut résoudre tous les problèmes du monde à lui seul. Être généreux ne veut pas dire se ruiner financièrement.
Parlez à un ami de confiance et convenez d’un montant qui améliorera vraiment la vie de quelqu’un et respectez ce don.
Mon pack d’assistance sur l’anxiété devrait vous aider, et contactez anxiétéuk.org.uk (03444 775 774) pour obtenir des conseils.
