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Le « loud quitting » consiste à exprimer haut et fort son mécontentement au travail et à menacer de démissionner pour convaincre votre employeur de répondre à vos exigences.
Westend61 / Getty Images/Westend61 Le « loud quitting » consiste à exprimer haut et fort son mécontentement au travail et à menacer de démissionner pour convaincre votre employeur de répondre à vos exigences.

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Le « loud quitting » consiste à exprimer haut et fort son mécontentement au travail et à menacer de démissionner pour convaincre votre employeur de répondre à vos exigences.

DÉMISSION – Si l’on devait associer un phénomène concret à la fameuse expression « partir avec fracas », il faudrait vous parler du « loud quitting ». Quoi donc ? Le « loud quitting » : le départ bruyant. Une tendance du taf qui émerge en ce début 2023. Pas de panique, on vous explique tout.

Après le « quiet quitting », qui consistait à se désengager doucement de son travail, le « loud quitting » consiste simplement à exprimer haut et fort son mécontentement au travail. Plus encore, il s’agit de menacer de démissionner pour convaincre votre employeur de répondre à vos exigences. Un moyen de faire pression en somme, notamment en prétextant que l’on souhaite vous engager ailleurs par exemple. Mais comment le mettre en pratique ?

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Avoir envisagé les tenants et aboutissants

Le plus sûr avant d’entamer un « loud quitting » auprès de vos employeurs est d’envisager les tenants et aboutissants de cette démarche audacieuse et risquée. Par exemple ? « Avoir réfléchi à cette question : jusqu’où votre employeur est prêt à pousser la négociation et à faire des compromis ? », explique le journal britannique Metro. Il ne faut donc pas trop s’emballer et conserver le sens des réalités, sans que cela n’entache votre détermination.

Tenir des propos clairs

Il s’agit d’être clair et précis sur ce que vous voulez vraiment durant votre négociation. Comme le fait de demander une augmentation de salaire par exemple. N’hésitez pas à exposer en retour tout ce que vous pourriez apporter à l’entreprise s’il s’agissait de rester. Une rhétorique bien menée et construite pourrait peut-être aboutir à de grands changements.

Garder des arguments concrets à l’esprit

Comme le souligne The Guardian, l’un des arguments les plus évidents à soumettre à votre employeur dans ce cadre pourrait simplement être : « lui rappeler toutes vos réalisations et laisser entendre que vous pourriez faire le même travail pour un meilleur salaire ailleurs ». En somme, énoncer les objectifs atteints dans l’entreprise depuis vos débuts, voire les actions qui dépassaient votre domaine d’expertise initial, mais aussi les réalités économiques du marché. Autant d’arguments concrets qui pourraient faire mouche. On l’espère.

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